BFM TV - Urban Art Riviera épisode 7

BFM TV - Urban Art Riviera épisode 7

César Malfi reçoit Yannick Boesso, fondateur de l’Urban Art Fair, l’une des plus grandes foires de street-art du monde, qui a lieu du 25 au 28 avril 2024 au Carreau du Temple, à Paris.
Ensemble, ils viennent présenter la huitième édition de cette foire d’art urbain, présentant le travail de nombreux artistes d’exception, et à laquelle César aura l’honneur de participer.




Le principe : des dizaines de galeries venues des quatre coins du monde viennent exposer les oeuvres des grands noms de l’art urbain. C’est ainsi plus d’une centaine d’artistes qui sont représentés en un même lieu, faisant de cette foire un véritable temple du street-art.

Ce contexte est l’occasion rêvée pour César Malfi et Yannick Boesso d’évoquer l’état actuel de ce courant et de la manière dont il se situe dans l’art contemporain plus global, où il occupe une place de choix.

La place de l'art urbain dans l'art contemporain

Yannick Boesso, fondateur de l’Urban Art Fair, décrit la façon dont certains artistes, au cours de leur cheminement artistique, se revendiquent plutôt de l’art contemporain que de l’art urbain. Ainsi s’ouvre une réflexion avec César Malfi sur la manière dont ces courants échangent et se nourrissent mutuellement.

Ils évoquent ensuite la façon dont l’Urban Art Fair s’exporte hors les murs et appuie sa dimension urbaine, notamment avec l’intervention de Lady Pink au Mur Oberkampf et de Seth dans les Galeries Lafayettes des Champs Elysées.

Laurie Canac rebondit sur cette notion et interroge l’invité d’Urban Art Riviera au sujet de l’exercice de l’installation, ce qui permet  à Yannick Boesso de rappeler que l’art urbain est avant tout un art contextuel, faisant de ce dernier un medium idéal pour cette pratique.

César parle enfin de son expérience de l’installation et de la manière dont il avait réintroduit l’atmosphère urbaine au sein du Musée d’archéologie de Nice Cimiez. Cette installation permettait de briser la barrière du musée, sujet directeur dans l’approche artistique de César, tout en mettant en valeur le site du musée qui est lui-même bâti sur un site urbain historique.

Pour finir, Yannick Boesso évoque les artistes qui selon lui représentent une forme de nouvelle vague du street-art, citant notamment César Malfi !