César Malfi invite Eric Garence et Robert Roux.
Eric Garence, originaire de Nice, a débuté sa carrière artistique en tant qu’affichiste, attirant l’attention par ses créations visuellement captivantes et innovantes. Son esprit créatif rebelle l’a conduit à explorer de nouveaux horizons artistiques, le propulsant vers le monde dynamique du street art. Au contact de César Malfi, il a découvert la puissance des murs comme support d’expression artistique et a crée à ses côtés des oeuvres qui font désormais partie des incontournables de l’art azuréen.
À Nice, Eric a transformé les murs urbains en toiles vivantes, mêlant habilement la spontanéité de l’art de rue à la précision de ses talents d’affichiste. Son travail se distingue par des compositions audacieuses, des couleurs vibrantes et des messages subtils qui interpellent le spectateur. Eric Garence incarne ainsi la fusion unique entre le graphisme traditionnel et l’énergie provocante du street art, laissant une empreinte artistique indélébile dans les rues ensoleillées de Nice.
Robert Roux, adjoint au maire délégué à la culture, incarne une passion dévouée pour l’art sous toutes ses formes. En plus de son rôle politique, il est lui-même un artiste, contribuant à la richesse culturelle de la ville. Cependant, c’est son engagement indéfectible en faveur de la démocratisation du street art qui le distingue. En tant que fervent défenseur de l’expression artistique urbaine, il a joué un rôle clé dans l’intégration du street art dans l’espace public niçois. Il fait la rencontre de César alors que celui-ci n’est encore qu’un jeune street-artist en quête d’identité artistique et jouera un rôle important dans son parcours personnel et professionnel.
Robert Roux œuvre sans relâche pour créer des initiatives qui favorisent l’accès à l’art urbain, contribuant ainsi à façonner une scène artistique dynamique et inclusive à Nice.
Ensemble, ils ont su faire communiquer des mondes qui n’avaient pas prévu de se rencontrer et qui sont pourtant aujourd’hui intimement liés. Ils reviennent sur la façon dont le street-art est passé d’une pratique marginale à un courant artistique accueilli et célébré au sein des musées de la ville, tout en nous offrant un regard unique sur les oeuvres murales les plus iconiques de Nice.